Port-Louis
Histoire(s) Mauricienne(s), en collaboration avec l’Atelier Littéraire, évoque les émeutes de février 1999, 21 ans après, à travers un ouvrage intitulé Février Noir, chronique de ces événements dramatiques.
Publié en 2000, Février Noir raconte les émeutes de 1999, depuis le décès en prison du chanteur Kaya, jusqu’aux événements de Goodlands et Triolet en passant par les affrontements entre policiers et émeutiers à Roche-Bois et les pillages.
Il est midi, un mercredi 24 février. Le petit stade de Roche-Bois, un terrain de football sommairement aménagé, à quelques pas des immenses entrepôts du port franc de Port-Louis, est terrassé par la chaleur de l’été tropical…
Lire la suite… Histoire(s) Mauricienne(s) en collaboration avec le Mauritius Turf Club (MTC) raconte deux siècles de courses hippiques au Champ de Mars et en évoquant le destin exemplaire de ces familles mauriciennes qui en font partie intégrante.
Dans l’histoire du MTC, de nombreuses familles mauriciennes ont vu leur destin s’associer à celui de grandes écuries qui ont fait les beaux jours du turf. Toutes ces écuries ont porté et portent encore les noms de ces familles. Parmi les plus illustres il convient de citer les Couve, Merven, Clarenc, Sauzier, Ruhee, Rousset, Ythier, Henry, Maingard, Noël, Ramdour ou Ramdin…Lire la suite…
Tags: Champ de Mars, Histoire, histoire du Turf, Histoire(s) du turf, Ile Maurice, Maiden Cup, Maurice, Mauritius, Mauritius Turf Club, Port-Louis, Turf Histoire(s) Mauricienne(s) propose une série de portraits de grands Mauriciens disparus, qui ont eu un rôle de premier plan dans l’histoire de leur pays. Certains d’entre eux sont considérés comme les principaux architectes de l’industrie mauricienne. Aujourd’hui disparus, ce sont les pères de la zone franche manufacturière et du développement économique.
Sir Edouard Lim Fat est né à Baie-du-Cap, en 1921, dans une famille de boutiquiers. Après avoir fréquenté le collège Bhujoharry puis le collège Royal de Port-Louis, il effectue des études à l’Imperial College de Londres et à l’université de Newcastle, en Angleterre. Lire la suite…
Histoire(s) Mauricienne(s), en collaboration avec la Mauritius Ports Authority (MPA), met en lumière les grandes phases du développement du port de Port-Louis au fil des siècles. Dernière partie.
Devenu une île à sucre prospère au milieu du 19e siècle, Maurice put compter sur son port pour exporter massivement le précieux produit vers l’Angleterre, l’Australie, l’Inde. C’est encore le port qui fut la première porte d’entrée de ces dizaines de milliers d’immigrants venus développer un petit pays qui a toujours su afficher ses grandes ambitions. Lire la suite…
Histoire(s) Mauricienne(s), en collaboration avec l’Atelier Littéraire, met en lumière des faits et/ou des personnages qui ont marqué l’histoire de Maurice, en les évoquant à travers les ouvrages disponibles à la librairie. Dans un beau livre illustré par le peintre Vaco Baissac, le prêtre catholique Sylvio Lodoiska raconte le parcours du Père Laval.
Le père Jacques Désiré Laval a consacré toute sa vie à travailler auprès des esclaves affranchis dans l’île Maurice du milieu du 19e siècle. Il a débarqué à Port-Louis le 14 septembre 1841 accompagnant Mgr Collier, qui avait la responsabilité des catholiques de Maurice et trois autres nouveaux prêtres.Lire la suite…
Maurice a 51 ans. Histoire(s) Mauricienne(s) aura bientôt 5 ans. Nous vous proposons une série de portraits de grands Mauriciens disparus, qui ont eu un rôle de premier plan dans l’histoire de leur pays. Elle culminera par la publication d’un numéro spécial en fin d’année. Vos likes détermineront votre personnalité préférée !
Jean Margéot, né le 3 février 1916 à Quatre Bornes, est le premier cardinal mauricien. Il a aussi été le premier évêque mauricien de Port-Louis, de 1969 à 1993. Après avoir suivi sa formation à l’Université pontificale grégorienne, il a été ordonné prêtre le 17 décembre 1938 en la basilique Saint-Jean de Latran à Rome.Lire la suite…
Le 23 août Maurice a célébré le tricentenaire de la naissance de Pierre Poivre, Intendant de l’Isle de France, fondateur du jardin botanique de Pamplemousses. Une exposition lui est consacrée au Blue Penny Museum, à partir du 29 août. Histoire(s) Mauricienne(s) met en lumière ce personnage hors du commun.
Pierre Poivre arriva à l’Isle de France en 1767. Dès son arrivée, l’intendant voulut mettre de l’ordre dans Port-Louis, une petite ville livrée à la débauche, en attirant l’attention de l’administration royale sur les faiblesses de la police et l’absence de règlements dans la ville. Sous ses directives, il y eut de vastes opérations de drainage et d’agrandissement de la rade qui était encombrée par les épaves. Il dota aussi le port d’entrepôts, mit en place un service de santé maritime pour le contrôle des épidémies et fit construire dans la ville des moulins à eau, une boulangerie, une pharmacie, des casernes, une forge …Lire la suite…
Histoire(s) Mauricienne(s), en collaboration avec la Mauritius Ports Authority (MPA), vous raconte l’évolution du port de Port-Louis, depuis les origines jusqu’à la fin du 20e siècle. Une invitation à parcourir 400 ans d’histoire.
Au XXe siècle, de nouveaux moyens de transports allaient considérablement développer et démocratiser le monde des voyages. Durant la première moitié du siècle, Maurice était reliée à l’Europe par des lignes maritimes régulières, via l’Egypte, l’Afrique de l’Est et Madagascar. Les voyages par bateau avaient encore le vent en poupe… Et Port-Louis était toujours une étape obligée sur la route des Indes et de l’Australie.Lire la suite…
Histoire(s) Mauricienne(s), en collaboration avec la Mauritius Ports Authority (MPA), vous raconte l’évolution du port de Port-Louis, depuis les origines jusqu’à la fin du 20e siècle. Une invitation à parcourir 400 ans d’histoire.
Au 19e siècle, Maurice renforça son statut d’île à sucre. La production de sucre était exportée de Port-Louis, principalement en Angleterre mais aussi vers l’Inde et l’Australie. Le port devenait une plaque tournante du commerce du sucre avec la création de plusieurs maisons de commerce.Lire la suite…
Histoire(s) Mauricienne(s), en collaboration avec la Mauritius Ports Authority (MPA), met en lumière les personnages, petits et grands, qui ont joué un rôle dans le destin du port, au fil des siècles.
Au 19e siècle, le développement des transports et des voies de communication survenus avec la Révolution industrielle permit le développement des voyages. Les voyageurs n’étant plus animés par les impératifs de conquête, laissèrent libre cours à l’observation pure.Lire la suite…