Histoire
Le Parti Mauricien Social-démocrate (PMSD) fête ses 66 ans. Ce parti a participé activement à l’instauration du suffrage universel, l’élaboration de la Constitution, ainsi qu’au développement économique et social de Maurice.
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Histoire(s) Mauricienne(s) publie un extrait d’un document sorti récemment, écrit par Yann Von Arnim, président de la Société de l’Histoire de l’Ile Maurice, sur les naufrages à Rodrigues. Ce document fait partie d’un travail plus étendu sur l’histoire des naufrages à Maurice et à Rodrigues.
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Confinement oblige, les festivités du 53e anniversaire de l’Indépendance de l’Ile Maurice seront réduites a leur plus simple expression, comme l’année dernière. Mais l’an 1 de l’Indépendance ne fit pas non plus l’objet d’une grande mobilisation.
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En février 2020,
un groupe de Mauriciens d’origine chagossienne a visité les îles des Chagos,
sur l’invitation du gouvernement britannique. Parmi eux, Jean Marie Chelin dont
la mère est née aux Chagos, qui a écrit Les Ziles La Haut, un livre paru en
2012. Il nous livre des images saisissantes prises sur le vif lors de cette
visite mémorable. Histoire(s) Mauricienne(s), en collaboration avec l’Atelier
Littéraire, vous fait revivre ce voyage dans un archipel où le temps s’est
arrêté et vous invite à relire le livre de M. Chelin, disponible à l’Atelier
Littéraire.
Le 29 avril 1973 les derniers habitants de l’archipel des
Chagos sont expulsés pour laisser la place à la base américaine de Diégo
Garcia… Dans Les Ziles La Haut, Jean
Marie Chelin nous invite sur 182 pages, à une visite complète de l’archipel. Un
saut dans l’espace et dans le temps.
Lire la suite… Histoire(s) Mauricienne(s), en collaboration avec l’Atelier Littéraire, évoque l’histoire de Curepipe à travers Curepipe, les premières images d’une ville, de Jean-Baptiste Urbini et Jean-François Sookahet un ouvrage disponible à la librairie.
Deuxième ville de Maurice, Curepipe est située au coeur des Plaines Wilhems, à mi-chemin entre la capitale, Port-Louis et Mahébourg, chef lieu du district de Grand-Port. Avec son climat frais et humide, elle abrite aujourd’hui quelques-uns des plus beaux quartiers résidentiels de l’île. Mais la région, couverte de forêts humides, fut longtemps inhospitalière et mit du temps avant d’être habitée.Lire la suite…
Au début des années 50, de nombreuses familles mauriciennes possédaient des résidences secondaires un peu partout sur le littoral. Quelques-unes d’entre elles avaient choisi le sud-ouest, la côte sous le vent au climat très doux durant l’hiver tropical. Elles venaient y passer leurs vacances en famille et s’adonnaient aux plaisirs de la vie au bord de la mer. Surtout, la pêche y était bonne …
C’était le cas pour Jean-Pierre Henry et sa famille. Enfant déjà, il accompagnait son père lors de palpitantes parties de pêche au large des côtes de Rivière Noire, dans une eau peuplée de marlins pouvant atteindre plusieurs centaines de kilos… Lire la suite…
Histoire(s) Mauricienne(s, en collaboration avec l’Atelier Littéraire évoque, à travers des ouvrages disponibles à la librairie, la fin de l’occupation française et la prise de Maurice par les Anglais, au début du 19e siècle.
Les Anglais arrivèrent aux portes de Port-Louis le 1er décembre, les Français capitulèrent le 3 décembre, le gouverneur français Decaen quitta l’île le 20 décembre et le gouverneur anglais Farquhar s’installa à l’hôtel du gouvernement le 27 décembre. Une courte bataille eut lieu, au nord de la capitale, le 1er décembre, faisant 60 morts côté français et 150 victimes côté anglais.Lire la suite…
Histoire(s) Mauricienne(s, en collaboration avec l’Atelier Littéraire évoque, à travers des ouvrages disponibles à la librairie, la fin de l’occupation française et la prise de Maurice par les Anglais, au début du 19e siècle.
1810 est probablement l’une des années les plus importantes de l’histoire de Maurice. En août puis en décembre de cette année-là, les deux superpuissances de l’époque, la France et l’Angleterre, se sont affrontées sur le champ de bataille pour se disputer ce petit bout de terre pourtant isolé dans l’océan Indien. Son port en eau profonde et sa situation stratégique sur la route des Indes explique cette convoitise. Tandis que les Français y avaient pris souche depuis le début du 18e siècle, les Anglais eux n’avaient qu’une seule idée : se l’approprier. Ils mirent plusieurs années. Mais après de nombreux sièges quelques tentatives de débarquement, une grande bataille navale ils finirent par l’envahir et la conquérir, pratiquement sans coup férir.Lire la suite…
Histoire(s) Mauricienne(s) en collaboration avec le Mauritius Turf Club (MTC) raconte deux siècles de courses hippiques au Champ de Mars et en évoquant le destin exemplaire de ces familles mauriciennes qui en font partie intégrante.
Dans l’histoire du MTC, de nombreuses familles mauriciennes ont vu leur destin s’associer à celui de grandes écuries qui ont fait les beaux jours du turf. Toutes ces écuries ont porté et portent encore les noms de ces familles. Parmi les plus illustres il convient de citer les Couve, Merven, Clarenc, Sauzier, Ruhee, Rousset, Ythier, Henry, Maingard, Noël, Ramdour ou Ramdin…Lire la suite…
Tags: Champ de Mars, Histoire, histoire du Turf, Histoire(s) du turf, Ile Maurice, Maiden Cup, Maurice, Mauritius, Mauritius Turf Club, Port-Louis, Turf Histoire(s) Mauricienne(s) propose une série de portraits de grands Mauriciens disparus, qui ont eu un rôle de premier plan dans l’histoire de leur pays. Certains d’entre eux sont considérés comme les principaux architectes de l’industrie mauricienne. Aujourd’hui disparus, ce sont les pères de la zone franche manufacturière et du développement économique.
Sir Edouard Lim Fat est né à Baie-du-Cap, en 1921, dans une famille de boutiquiers. Après avoir fréquenté le collège Bhujoharry puis le collège Royal de Port-Louis, il effectue des études à l’Imperial College de Londres et à l’université de Newcastle, en Angleterre. Lire la suite…